Notre campagne Place à l’action explique au monde entier comment les Rotariens se mobilisent pour répondre aux problèmes les plus urgents. Mais en tant que dirigeants de district, passons-nous à l’action lorsqu’il s’agit d’utiliser les outils de cette campagne ?
Bulletin hebdomadaire de la capitale numéro 650
Par Ron Janssen, gouverneur du district 6980 (États-Unis)
Face à un budget serré, de nombreux dirigeants de district pensent qu’il y a peu de place dans leur budget pour des publicités comme celles de Place à l’action. Cette campagne a pour but de mieux faire connaître le Rotary et nos efforts humanitaires. Le résultat souhaité est la croissance de l’effectif, ce qui se traduit par une augmentation des cotisations et de notre budget. N’est-ce pas contradictoire que ce soit l’une des dernières choses que nous voudrions financer ?
Face à cette question, notre club a trouvé une alternative qui, non seulement permet de financer une campagne d’image publique, mais aussi de générer un profit que nous pourrions utiliser pour autre chose. Nous avons créé un supplément du Rotary qui a été inséré dans le journal américain Sunday Orlando Sentinel dans le but de toucher 114 000 foyers. Et nous l’avons financé à l’aide de publicités.
Un supplément de huit pages et une composante sur les médias sociaux nous a coûté 6 500 dollars. Nous avons établi le prix de la publicité à la moitié des tarifs publiés par le journal. Nous nous sommes cependant vite rendu compte que huit pages ne suffisaient pas. Et quatre pages supplémentaires ne coûtaient que 500 dollars de plus, soit moins que ce que nous facturions pour une publicité d’un quart de page.
Face à un budget serré, de nombreux dirigeants de district pensent qu’il y a peu de place dans leur budget pour des publicités comme celles de Place à l’action. Cette campagne a pour but de mieux faire connaître le Rotary et nos efforts humanitaires. Le résultat souhaité est la croissance de l’effectif, ce qui se traduit par une augmentation des cotisations et de notre budget. N’est-ce pas contradictoire que ce soit l’une des dernières choses que nous voudrions financer ?
Face à cette question, notre club a trouvé une alternative qui, non seulement permet de financer une campagne d’image publique, mais aussi de générer un profit que nous pourrions utiliser pour autre chose. Nous avons créé un supplément du Rotary qui a été inséré dans le journal américain Sunday Orlando Sentinel dans le but de toucher 114 000 foyers. Et nous l’avons financé à l’aide de publicités.
Un supplément de huit pages et une composante sur les médias sociaux nous a coûté 6 500 dollars. Nous avons établi le prix de la publicité à la moitié des tarifs publiés par le journal. Nous nous sommes cependant vite rendu compte que huit pages ne suffisaient pas. Et quatre pages supplémentaires ne coûtaient que 500 dollars de plus, soit moins que ce que nous facturions pour une publicité d’un quart de page.